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vendredi 3 février 2012
The Pirate Bay dans la ligne de mire de la justice
Après Megaupload, plusieurs sites proposant le téléchargement de contenus « illégaux », ont fermé ou ont limité leur activité. Mais la mise en péril du téléchargement direct (téléchargement depuis un seul serveur, à la manière de megaupload) nous permet de nous souvenir qu’une autre plateforme existe, elle, encore bel et bien : The Pirate Bay. Il s’agit d’un site Internet suédois proposant le téléchargement de contenus médias gratuits par le biais des torrents, un réseau peer-to-peer.
Dans le monde du téléchargement illégal, The Pirate Bay fait figure de citadelle imprenable et de fer de lance du mouvement pirate. Avec des actions aussi culottées que spectaculaires - telles que la tentative d’achat d’une île dans le but de créer une micronation -, la plateforme s’est illustrée dans la lutte contre la répression digitale, avec parfois des conséquences au niveau de la politique nationale.
Mais la justice s’est déjà jetée sur ce bastion du média pirate. En effet les fondateurs de The Pirate Bay, après moult trépidations juridiques, ont été condamnés fin 2010 par la cour d’appel suédoise à des peines de prison allant de 4 à 10 mois et au versement de dommages et intérêts à hauteur de 5 millions d’euros.
Aujourd’hui, le recours en appel tenté par ces ténors du téléchargement illégal, a été rejeté par la cour suprême de Suède. Cette décision quasi-définitive pourrait sonner comme une sentence grave, si les intéressés n’avaient pas déjà prévu une telle finalité. En effet, d’après les actuels administrateurs du site, il y a peu de chances que les fondateurs de The Pirate Bay purgent une quelconque peine. Ainsi ont-ils déclaré sur le blog du site : « Nos trois amis et frères de sang ont été condamnés à des peines de prison. Cela pourrait sonner de façon plus grave que ça ne l'est vraiment. Dans la mesure où aucun d'entre eux ne vit plus en Suède, ils n'iront pas en prison. Ils sont aussi libres aujourd'hui qu'ils l'étaient hier »
Ils expriment également leurs regrets vis-à-vis de l’implication législative des gouvernements, et encouragent enfin leurs adeptes à continuer le combat : « Ce qui nous fait rager au plus profond de nous-mêmes, c’est que le système, l’empire, les gouvernements sont encore autorisés à nous commander, vous et nous, avec des lois de plus en plus aberrantes. Croyez-vous qu’ils arrêteront les actions SOPA/ACTA/PIPA (divers mesures américaines anti-piratage, ndlr) ? Il n’arrêteront pas. Parce que vous n’arrêterez pas de partager tous ces fichiers. Parce que nous ne baisserons pas les bras. Parce que personne ne peut revenir dans le passé. Ensemble, nous sommes le fer qui durcit un peu plus à chaque coup.
Par mesure de sécurité, les administrateurs ont choisi de déplacer le nom de domaine du site de .org à .se. Cela devrait théoriquement empêcher la saisie du site Internet par le gouvernement américain, les domaines en .org étant gérés par une association américaine. Le site reste donc disponible à l’adresse www.thepiratebay.se.
La guerre semble bien déclaré pour The Pirate Bay et comme le prédisent ses administrateurs eux-mêmes : « 2012 est l’année de la tempête ». Espérons que le grain n’aura pas raison de leur fier bâtiment.
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La guerre secrète contre les cyberpirates
Dans les ministères, des informaticiens bataillent jour et nuit pour contrer les attaques des «Anonymous».

Les institutions, elles, s'organisent pour faire face dans une véritable course-poursuite avec les pirates. L'Élysée, qui avait soutenu la fermeture du site de téléchargement de Megaupload, a connu plusieurs jours d'attaques. Des Anonymous ont inscrit leur slogan «we are legion» quelques secondes, mais n'ont pu obliger le site à fermer. «Contrairement au FBI… », rappelle-t-on à la présidence de la République. Des informaticiens ont été spécialement mobilisés et se sont relayés jour et nuit pour ne pas concéder de victoire symbolique aux pirates. Dans une ambiance assez geek (du nom de ces virtuoses du Net), Ils ont déplacé sans cesse le site pour échapper aux attaques automatiques, profitant d'un système où les contenus sont relayés par des serveurs différents pour créer des leurres. Une lutte octet par octet. Où chacun teste ses forces. «Cela fait des heures que nous attaquons l'Élysée en déni de service sans résultat. Faut changer de tactique…», pouvait-on lire dans un échange Twitter dépité entre pirates… Depuis, les Anonymous ont changé de cible. Jusqu'à nouvel ordre. Car dans cet univers, le goût du défi est un puissant moteur. Ce qui résiste attire.
Trafic anormal
C'est finalement un des sites du ministère de l'Intérieur, celui de l'immigration, qui a flanché dimanche dernier. Il a dû fermer jusqu'à mardi. «Ils ont dû se replier sur un maillon moins sécurisé du ministère», explique Pierre-Henry Brandet, le porte-parole. Cette plate-forme était hébergée chez un prestataire. Le dimanche, constatant un trafic anormal, la cellule qui surveille en permanence le Net pour le ministère a donné l'alerte. Ce Centre national de gestion et d'expertise des systèmes de sécurité informatique a préféré fermer le site. Parce qu'il n'y avait guère d'enjeu symbolique et pour avoir le temps de s'organiser. Tout comme elle avait choisi de fermer les sites de dix préfectures attaquées cet été, pour éviter le vol de données cette fois. Dix-huit policiers surveillent ainsi en permanence la Toile, préparent les défenses et les stratégies en cas d'attaque.Ces dernières se multiplient au gré des tensions politiques et de l'actualité. Le Sénat en a fait l'expérience à l'occasion du vote sur la loi sur la négation du génocide arménien. Le 25 décembre au matin, des millions de requêtes venues du monde entier ont saturé le site. Les données confidentielles n'étaient pas menacées, car elles sont sur des réseaux très sécurisés, mais le portail a vite été bloqué. Les équipes rappelées de toute urgence ont organisé la riposte. «On a vite basculé le site chez un hébergeur capable de soutenir ces millions de connexions, puis on a envoyé les pirates vers des “trous noirs”, en clair, vers des poubelles», explique-t-on au service informatique de la Haute Assemblée. Là encore, l'enjeu était symbolique, ce qui explique la mobilisation de pas moins de quatre spécialistes pour neutraliser l'attaque et réparer les dégâts.
Empêcher un déni de service est toutefois pratiquement impossible, reconnaît le Centre d'expertise gouvernemental de réponse et de traitement des attaques informatiques. Dans un univers où l'on peut louer un serveur pour 2 dollars l'heure à des cyberpirates, tout est question d'arbitrage entre l'importance du site attaqué et les moyens mobilisés pour le défendre. L'Hadopi, qui se savait dès le départ une cible privilégiée des hackers, a ainsi placé les données des internautes pris en train de télécharger sur un serveur très sécurisé et opté par ailleurs pour un site ouvert, pratiquement pas protégé…
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Les Anonymous infiltrent l’extrême droite lyonnaise
Début janvier, les Anonymous lançaient en Allemagne une opération “Blitzkrieg”, et dévoilaient des informations confidentielles concernant le NPD, le parti d’extrême droite allemand. Le 14 janvier, à l’occasion de la manifestation nationaliste à Lyon contre la présence française en Afghanistan, une opération “Lyon propre” s’enclenche.
Les activistes du Web piratent les sites liés aux mouvements d’extrême droite lyonnais, mais aussi tout le contenu des boîtes mail d’une des têtes pensantes de L’Œuvre française et du mouvement nationaliste en France, Yvan Benedetti.
Le FN et les identitaires membres de l’Œuvre française
Marine Le Pen est formelle : on ne peut appartenir dans le même temps au FN et à L’Œuvre française. Yvan Benedetti en a fait les frais en 2011. Les documents révélés vont-ils provoquer une nouvelle “purge” au FN ? On y trouve en effet des demandes d’adhésion émanant de cadres du FN.“Je souhaiterais être membre, mais avant de remplir le formulaire, j’aimerais savoir si je peux obtenir une place de cadre au niveau de la sécurité”, écrit ainsi Thierry Bisch à L’Œuvre française. Avant d’ajouter : “Je suis actuellement membre du FN et j’ai une place (bénévole) au sein du DPS (c’est la sécurité duFront national), je suis chef d’équipe du Jura.”
La liste des membres compte également Jean-Marie Cojannot, qui s’est hissé au second tour des cantonales en 2011 pour le FN dans le Vaucluse. Plus important, Amaury Navarranne, l’ancien responsable des “Jeunes avec Gollnisch”, est désormais l’un des bras droits de Benedetti pour l’organisation des camps d’été de Jeune nation, un site Web ouvertement raciste. Aujourd’hui, sur le site flambant neuf du FN, il apparaît comme membre du comité central, aux côtés de cadres du Front comme Louis Aliot ou Alain Vizier.
Les identitaires, qui viennent d’apporter leur soutien à Marine Le Pen à Nice, sont là aussi, avec un certain Thomas Speciel, responsable terrain des identitaires de Vendée.
Un local de l’extrême droite à la Guillotière
Parmi les perles mises en lumière par les Anonymous, la région Rhône-Alpes est omniprésente. Un Éric Riget de Genève “souhaite se préparer à la lutte armée clandestine”. Un habitant de Firminy (Rhône), membre de la fraternité Saint-Pie X, se veut “ami d’un nationalisme de bon aloi tel que le présentait doctrinalement Maurras”. Un Stéphanois, membre du Parti nationaliste français (PNF), possède comme loisir le “nationalisme social”, et un Savoyard demande de la documentation, avec son adresse d’employé du Crédit agricole.Le conseiller municipal de Vénissieux et ancien cadre du FN Yvan Benedetti a été largement pris pour cible par les hackers. Ont été révélés son adresse personnelle, son numéro de portable et l’ensemble de ses noms de domaine, qui hébergent des sites liés à l’extrême droite radicale : Œuvre française, Jeune nation, La Flamme ou encore le Cercle du 6 février. Les Anonymous révèlent aussi l’existence d’un appartement au nom d’Yvan Benedetti en plein cœur de la Guillotière, au 19, rue de Marseille. Ce local, dans un quartier à forte communauté musulmane, servirait désormais de camp de base aux Jeunesses nationalistes d’Alexandre Gabriac.
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Les Anonymous s'en prennent à la Grèce
Le groupe de pirates informatiques Anonymous a attaqué vendredi le site internet du ministère grec de la Justice pour protester contre la politique d'austérité de ce pays et contre son adhésion à des mesures internationales de lutte contre le piratage sur la Toile. "Vous faites peser une nouvelle dictature sur votre peuple en permettant aux banquiers et aux monarques de l'Union européenne de le réduire en esclavage à la fois politiquement et économiquement", a accusé le groupe dans une déclaration que l'on peut lire sur le site web du ministère. "La démocratie est née dans votre pays et maintenant vous la tuez", a-t-il ajouté.
Sous la férule de l'UE et du FMI, le gouvernement d'Athènes a mis en place un plan très sévère de restrictions économiques, et la Grèce, qui se retrouve avec près de 900.000 chômeurs, affronte une grave récession. Les "hackers" d'Anonymous menacent de rendre inutilisables les sites du ministère, mais aussi ceux des médias du pays, jusqu'à ce que la Grèce se retire de l'Accord commercial anticontrefaçon (ACTA), signé le 26 janvier et qui crée des normes internationales pour la protection de la propriété intellectuelle et des droits d'auteur.
La Grèce est l'un des 22 pays de l'UE à avoir contresigné ce texte multilatéral, dépeint par ses opposants comme une atteinte potentielle grave à la liberté d'expression et aux droits des utilisateurs de la Toile. "L'ensemble des médias grecs seront la prochaine cible", a prévenu Anonymous, affirmant détenir "la plupart des mots de passe internes des sites web des médias" en question. La police grecque a fait savoir qu'elle tentait de repérer d'où venait l'attaque cybernétique. "L'enquête est en cours. Nous sommes en train de remonter la piste électronique", a-t-elle indiqué.
http://www.rezocitoyen.fr/anonymous-grece.html
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jeudi 2 février 2012
Odezenne
PAROLES:
tu tues sur l'instru?pff! tu sues du cul
tu pues l'intrus
tu sais, tu pues du cul
je t'instruis je suis malotru
ça m'attriste t'as mal au trou
j'suis altruiste
et largue le tout
j'te félicites
t'es l'illicite moi j'suis lucide
tu fais (fais lu si)
t'es mon fantome ma fée d'ici
pas d'visite quand j'pique c'est décisif
pas d'gimmick
quand j'kick j'te bizutes vite
des reves de macs de Blacks
et de peter les bacs
creve de mac
qui braque, j'éclate les watts
traitre je traque les wacks
bref je craque des claques
ta gueule
ta gueule
t'en fais des tonnes c'est pas du rap
ca détonne
rien d'étonnant
que les autres dorment
sans déconner t'es pas un homme
les emcee's s'frottent comme des p'tites chattes
ça botte pas plus qu'un p'tit chat
avec une meuf au puits de jatte
comme ma 6 latte
pour faire valoir mon must
a sraconter des contines
et sfaire valoir en guest
tu minimises
je m'immisces dans ton mini bizz
tu fais néné? je finis l buzz et t'immunises
t'es limité
j'suis l'éminence grise
t'es dégouté
j'l'ai mise dans l'mille
sans débiter
t'es dans l'impasse
ya pas la place sur une autre base
tu bois la tasse
tu d'vien tassé comme thalassa
un flow passé en thalasso
jai tous les as
tas pas d panache
jsuis letalon
tes le cannasson
jamais étalé sur le paillasson
cocorico
ou quand j'ricane
des bourico
tes trop Ricain
laisse moi tiser mon mojito
p'tit Kirikou,
va louer ton style à Kilootoo
j'ai trop d'aahh
une carapace
une djellaba?
trop d'karna
tu perds la face
quand t'es la bas
ca passe pas
t'as tout raté
j'ai fais fissa
t'es dans l'maquis
ta caboté par j'sais pas qui
ça sent le roussi
t'étais rossé par un rookie
je t'etylises, je t'utilises
j'suis élissiste
tu metalonnes
jsuis letalon le lyricsite
j te traumatise
je tevapores jme gargarises
t'es gourgandine
mes metaphores c'est pas ton biz
tes semaphores
le microphone c'est pas ton fort
tu parles fort, tu fais le ouf et tu t'etouffes
moi je metoffes
tes rikiki je tapostrophe
jsuis Hasseloff toi tu figures en bikini
jsuis occulaire
tes popotin jsuis opportun
tes ciruclaire
jsuis rocking chair tes strapontin
jsuis stratosphere tes terre a terre en charentaises
jsuis mocassins, un mousquetaire alexandrin
jsuis criterium toi tes sillex et prehistoire
jsuis paraphrase jsuis parapente tes autocar
tes stupéfiant je te roule je te fume
t'es stupéfait, je suis la lune et toi le bitume
t'es cétacé t'es assassin t'es fracassé t'es ramassé
j'suis fricassé toi t'es caleçon jsuis Picasso tes Robinson
tes favelas jsuis Bahamas sur Chaka Kahn
jsuis sarbacanne
jsuis baobab toi arbre a canne
jsuis electrique tes hermetique jsuis cotillon
jsuis convaincu tes testicules tes postillons
jvais tviolenter
te tourmenter en paragraphes
tes telegraphe jsuis epitaphe et epatant
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Google Music
vous pouvez utilisez le service Google Music en version beta test et disponible uniquement au Etats-Unis en vous camouflant derrière un proxy, ce service musicale très complet vous permet d'upload entièrement votre bibliothèques musicale!
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mercredi 1 février 2012
Wetransfer
Service d'upload ? vous avez dit UPLOAD? bien sur qu'il reste encore des services disponible gratuitement depuis la disparition de //MU, comme le site https://www.wetransfer.com/ ce services d'hébergement permet d'Upload des fichiers jusque 2go durant 2 semaines et permet de les partager avec ces amis par email.
Un service complet et très intuitifs.
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Un service complet et très intuitifs.
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//Megaupload Les données ne seront pas delete !
Mardi dernier un accord conclu entre megaupload et leurs partenaires
de stockage devaient prendre fin pour cause de non paiement des sommes
dues en échanges de stockage de fichiers en leurs noms. Ces fichiers
devaient donc être supprimé par les sociétés ce jeudi 2 février 2012!
Selon les autorités fédérales américaines, les données hébergées par le service Megaupload pourraient être définitivement effacées à partir de jeudi prochain, rendant vains les espoirs pour les utilisateurs de récupérer leurs fichiers.
Dans un communiqué, l'Associated Press rapporte qu'un document concernant l'affaire Megaupload a été ajouté au dossier par le bureau du procureur des Etats-Unis vendredi dernier : le courrier explique que le service d'hébergement payait des entreprises tierces pour assurer le stockage des millions de fichiers hébergés, notamment sur des serveurs situés en Virginie. Mais dans la mesure où les comptes de Megaupload ont tous été gelés, ces sociétés ne sont plus payées : la fin du mois de janvier arrivant, ces entreprises, parmi lesquelles Carpathia Hosting Inc. et Cogent Communications Group Inc., pourront donc commencer leur ménage à partir de jeudi.
Le document ajoute que si les autorités américaines ont été en mesure de copier certains fichiers hébergés, elles n'ont pas pu saisir les serveurs sur lesquels ils étaient stockés : l'exécution d'un mandat de perquisition aurait enlevé le droit aux autorités d'accéder aux données, et l'avenir de ces dernières serait, par conséquent, entre les mains des entreprises qui les hébergent.
Ira Rothken, l'un des avocats de Megaupload, a déclaré travailler avec les autorités pour tenter d'empêcher l'effacement de ces fichiers : selon lui, les données de 50 millions d'utilisateurs de Megaupload seraient en danger.
Mise à jour : l'avocat de Megaupload a indiqué lundi soir que Carpathia Hosting et Cogent Communications ont accepté de conserver les fichiers durant deux semaines supplémentaires, période durant laquelle elles collaboreront avec les autorités américaines pour essayer de trouver une solution. Néanmoins, interrogé par ZDNet, Carpathia Hosting a déclaré qu'il « n'a pas et n'a jamais eu accès aux contenus sur les serveurs de Megaupload et n'a pas de mécanisme pour restituer aucun contenu résidant sur lesdits serveurs aux clients de MegaUpload ».
Entre légaux et illégaux, les plus célèbres sites concurrents de Megaupload sont :
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Selon les autorités fédérales américaines, les données hébergées par le service Megaupload pourraient être définitivement effacées à partir de jeudi prochain, rendant vains les espoirs pour les utilisateurs de récupérer leurs fichiers.
Dans un communiqué, l'Associated Press rapporte qu'un document concernant l'affaire Megaupload a été ajouté au dossier par le bureau du procureur des Etats-Unis vendredi dernier : le courrier explique que le service d'hébergement payait des entreprises tierces pour assurer le stockage des millions de fichiers hébergés, notamment sur des serveurs situés en Virginie. Mais dans la mesure où les comptes de Megaupload ont tous été gelés, ces sociétés ne sont plus payées : la fin du mois de janvier arrivant, ces entreprises, parmi lesquelles Carpathia Hosting Inc. et Cogent Communications Group Inc., pourront donc commencer leur ménage à partir de jeudi.
Le document ajoute que si les autorités américaines ont été en mesure de copier certains fichiers hébergés, elles n'ont pas pu saisir les serveurs sur lesquels ils étaient stockés : l'exécution d'un mandat de perquisition aurait enlevé le droit aux autorités d'accéder aux données, et l'avenir de ces dernières serait, par conséquent, entre les mains des entreprises qui les hébergent.
Ira Rothken, l'un des avocats de Megaupload, a déclaré travailler avec les autorités pour tenter d'empêcher l'effacement de ces fichiers : selon lui, les données de 50 millions d'utilisateurs de Megaupload seraient en danger.
Mise à jour : l'avocat de Megaupload a indiqué lundi soir que Carpathia Hosting et Cogent Communications ont accepté de conserver les fichiers durant deux semaines supplémentaires, période durant laquelle elles collaboreront avec les autorités américaines pour essayer de trouver une solution. Néanmoins, interrogé par ZDNet, Carpathia Hosting a déclaré qu'il « n'a pas et n'a jamais eu accès aux contenus sur les serveurs de Megaupload et n'a pas de mécanisme pour restituer aucun contenu résidant sur lesdits serveurs aux clients de MegaUpload ».
Entre légaux et illégaux, les plus célèbres sites concurrents de Megaupload sont :
- RapidShare.com
- DepositFiles.com
- Fileserve.com
- FileSonic.fr
- FileFactory.com
- FilesTube.com
- UploadStation.com
- UploadBox.com
- Bayfiles.com
- DL.Free.fr
- MediaFire.com
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